lundi 28 mars 2011

Diapo 5 : Prise en charge du malade : les aides financières

- La prise en charge à 100 % de la Sécurité Sociale dans le cadre des affections de longue durée

- L'allocation personnalisée d’autonomie destinée aux personnes de plus de 60 ans ayant une perte d’autonomie

- La carte d’invalidité et les avantages qui y sont liés ainsi que l'allocation pour adultes handicapés

- APL

- L’exonération des cotisations patronales

- La réduction d’impôts pour l’emploi d’une aide à domicile ou pour hébergement en institution

Diapo 4 : Prise en charge du malade : Les aides à domicile

- L'aide ménagère

- L'auxiliaire de vie

- Les soins à dimicile sur prescriptions médicales

 (ajout sur chaque diapo d'une ou plusieurs photos pour illustrer ! )

Diapo 3 : Une vue générale de la maladie d'Alzheimer : les symptômes

- Altération de la mémoire à court terme
- Difficulté à retenir de nouvelles informations
- Difficulté à exécuter les tâches familières
- Difficultés de langage ou aphasie
- Difficulté à suivre une conversation
- Difficulté ou incapacité à planifier
- Perte graduelle du sens de l’orientation dans l’espace et dans le temps
- Difficulté à reconnaître les objets, les visages des proches
- Atteinte progressive de la mémoire à long terme
- Changements de personnalité etc. ...

Diapo 2 : Une vue générale de la maladie d'Alzheimer : les 3 phases

Phase de début :
la personne est consciente du diagnostic et est capable de participer à des décisions concernant les soins futurs.

Phase d'état :
Une détérioration plus grande des capacités mentales et physiques. Les pertes de mémoire s'aggravent, elle ne se souvient plus de son histoire personnelle et ne reconnait plus sa famille et ses amis.

Stade sévère :
fonctions corporelles du malade sont autant touchées que ses capacités psychiques.

Diapo introduction

La maladie Alzheimer doit son nom au docteur Alois Alzheimer qui la découvert en 1906.

A. Alzheimer a décrit les liaisons cérabrales de la maladie d'Alzeimer grâce à l'autopsie d'une femme morte de démence.

C'est une maladie dégénérative qui engendre un déclin progressif des facultés cognitives et de la mémoire.

Elle se distingue des autres démences car elle évolue graduellement et touche surtout la mémoire à court terme, dans ses débuts.

Le diagnostic de cette maladie n'est pas toujours évident et il peut être confondu la "démence de Lewy ».

samedi 26 mars 2011

Conclusion

      
       Pour conclure, nous avons vu dans une première partie que la maladie d'Alzheimer est une maladie dégénérative progressive. En effet, trois grandes phases marquent sont évolution. Les premiers symptômes de la maladie sont de oublis bénins ou encore des difficultés à suivre une conversion. Le malade a conscience du diagnostic ce qui peut entrainer chez lui un état de dépression ainsi qu'un comportement passif. Puis, les premiers symptômes s'aggravent et d'autres apparaissent comme l'agnosie et la diminution de la mémoire à long terme. On observe également pendant cette phase d 'état des changements de la personnalité et une augmentation de l'agressivité. Dans le stade sévère, les états physique et psychique sont au plus bas. Le malade ne peut plus rester seul, car il est totalement désorienté, ne reconnaît plus personne et les oublis sont tels qu'il ne se souvient même plus qu'il a besoin de s'alimenter. De plus, sont système immunitaire est très affaiblit et laisse place à de nombreuses infections.
Dans notre deuxième partie, nous avons vu que de nombreuses aides avaient été mises en place pour faciliter la vie au quotidien du malade et de ses proches. En effet, il existe des aides financières essentielles, car cette maladie à un coût très important étant donné que le malade perd toute autonomie et voit ses facultés physiques diminuer. Mais les aides les plus importantes pour la famille sont celle squi lui permettent la garde à domicile du malade. Ces aides ont été mises en place pour permettre aux malades d'avoir tous les soins nécessaires tout en permettant à la famille de pouvoir reprendre des forces en ce déchargeant un peu du malade. Cependant, nous avons vu qu'il existe également des institutions qui accueillent les malades souffrant de la maladie d'Alzheimer. Le problème est que se soit dans les institutions de jour, temporaire ou permanente les places sont très rares. Elles sont douze fois moins nombreuses que le nombre de malades.
       La réalisation de ce dossier nous a mener à nous poser des questions sur les prédispositions de cette maladie. Les seules informations que nous avons trouvé sont que l’équipe de Philippe Amouyel (de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale Inserm/Institut Pasteur de Lille), en collaboration avec l’équipe de Julie Williams (Alzheimer’s Research Trust, Université de Cardiff) ont découvert trois facteurs de prédisposition, impliqués dans le développement de la maladie. Il s’agit du gène de la clusterine , du gène CR1, ainsi que du gène PICALM.
Même s'il on ne c'est exactement d'où vient cette maladie ni comment la traiter, nous sommes certain qu'elle touche et touchera de plus en plus d'individus.



La prise en charge du malade

Dans cette deuxième partie, nous allons mettre en avant les différentes aides qui existent pour faciliter la vie du malade.

 

2.1. Les aides à domiciles

  • L’aide ménagère
  • L’auxiliaire de vie
  • Les soins à domicile sur prescription médicale (infirmière, kinésithérapeute, orthophoniste) une ou plusieurs fois par jour.


2.2. Les aides financières

  • La prise en charge à 100 % de la Sécurité Sociale dans le cadre des affections de longue durée (ALD l’Allocation personnalisée d’autonomie).
  • L’APA : l’Allocation personnalisée d’autonomie (APA) spécifiquement destinée aux personnes de plus de 60 ans ayant une perte d’autonomie.
  • La carte d’invalidité et les avantages qui y sont liés
  • La Majoration Tierce Personne (M.T.P.)
  • L’Allocation Compensatrice Tierce Personne (A.C.T.P.)
  • L’allocation logement
  • L’allocation Adulte Handicapée (A.A.H.)
  • Une aide sociale pour hébergement (en cas déplacement)
  • L’exonération des cotisations patronales
  • La réduction d’impôts pour l’emploi d’une aide à domicile ou pour hébergement en institution.
  • L’APA : l’Allocation personnalisée d’autonomie (APA) spécifiquement destinée aux personnes de plus de 60 ans ayant une perte d’autonomie.
  • La carte d’invalidité et les avantages qui y sont liés
  • La Majoration Tierce Personne (M.T.P.)
  • L’Allocation Compensatrice Tierce Personne (A.C.T.P.)
  • L’allocation logement
  • L’allocation Adulte Handicapée (A.A.H.)
  • Une aide sociale pour hébergement (en cas déplacement)
  • L’exonération des cotisations patronales
  • La réduction d’impôts pour l’emploi d’une aide à domicile ou pour hébergement en institution.


2.3. Les gardes à domicile

       2.3.1. Le domicile renforcé

Le domicile renforcé vous permet de garder le malade près de vous. Il consiste en effet à le laisser en famille, avec tout de même le passage d'infirmiers pour les , une aide ménagère et un garde-malade. Il faut être prudent, car souvent les maisons sont totalement inadaptées pour les soins nécessaires, et elles sont source de danger.
Cependant, il existe des organismes d'aide aidant le financement des travaux afin d'aménager votre maison.

      

       2.3.2. Les familles d'accueil

Les familles d'accueil sont formées et agrées par le Conseil Général, qui prendront votre parent en pension complète. Cette solution peut être intéressante de façon temporaire, elle ne conviendra pas à long terme.

       2.3.3. Le placement temporaire

Il s'agit de placements ayant pour but de laisser respirer les familles. Sachez que si il est effectué en milieu hospitalier, il est pris en charge a 100% par l'Assurance .

      

        2.3.4. Les communautés

Il existe des petites structures regroupant une petite quinzaine de personne en général, pour une prise en charge de longue durée. Les différentes activités sont réalisées par la personne qui les accueille, et les soins sont assurés par des infirmiers ou médecins libéraux.

      

       2.3.5. L'aide aux familles

Avoir un proche atteint de la maladie d'Alzheimer est une épreuve difficile à gérer au quotidien. Il ne faut surtout pas se replier sur soi-même en pensant pouvoir tout gérer seul. Au contraire, un soutien psychologique vous sera de la plus grande aide pour affronter les mois, voire les années que vous aurez à passer près de votre parent .


2.4. La mise en institutions

  • Le placement de jour consiste à amener le malade la journée dans un établissement adapté et le récupérer les soir. De ce fait, les proches peuvent aller travailler ou vaquer à leurs activités en toutes sérénité.
  • Le placement temporaire, permet de laisser le malade en institution jour et nuit pendent un temps prédéfini. Cela permet à la famille de respirer un peu et de reprendre des forces pour s'occuper du malade.
  • Le placement permanent, dans ce cas, le malade va complétement habiter dans une institution. Cependant, ses proches peuvent venir lui rendre visite dés qu'ils le souhaitent tout en respectant les heures de visite.
Il est difficile pour les familles de prendre la décision de mettre le malade en institution, même si dans certaines circonstances il n'existe pas d'autre solution. Cependant, une fois la décision prise, il faut encore réussir à trouver une place. En effet les places sont rares. En France, il existe seulement 70000 places pour 850000 malades toutes institutions confondues.



vendredi 25 mars 2011

cahier de charge du 25 Mars 2011

En début de séance de ce vendredi 25 Mars 2011, nous avons appris à réaliser un wiki qui est un autre moyen de réaliser un travail collaboratif à distance. Etant donné que nous avions créé la semaine précédente un blog, nous avons collectivement pris la décision de ne pas réaliser de wiki pour ce travail d'informatique.

A partir de 9 heures, nous avons tout d'abord fait une sélection collective des informations à garder pour agrémenter la rédaction finale.
Puis, nous avons chacune poursuivi nos recherches par rapport aux différentes remarques présentes sur le blog. A savoir :

Marine, a cherché afin de compléter les recherches effectuées par Caroline des indications concernant les fourchettes de budget( en euros) pouvant être attribuées à cette maladie dans le cadre des aides financières existantes.

Caroline, a cherché des informations relatives à l'accueil de ces malades dans les différents types de structures qui existent à ce jour. ( nombre de place, nombre de structure, répartition des structures en France...)

Margot a compléter ses recherches sur les prédispositions des malades ( prédisposition génétique, environnementales...). De plus, elle a commencé à réaliser le blog en faisant la page de présentation du groupe et du thème choisi.

Lucie a poursuivi la rédaction finale du dossier en y intégrant seulement les informations que nous avions ensemble sélectionné quelques minutes avant.

A 10 heures, nous avons fait une mise en commun sur les informations que nous avions trouvé pendant la séance. Après cette mise en commun Lucie et Caroline ont poursuivi la rédaction finale du dossier papier à rendre. Marine et Margot ont poursuivi la réalisation du blog par rapport à l'avancée de la rédaction qu'a fait Lucie auparavant.

Au cours de cette séance, nous n'avons pas pu poster les informations sur le blog. Nous nous sommes donc fait passé les informations à l'aide de clef USB.

Répartitions des tâches pour le 01 Avril 2011 :

Marine est chargée de faire la promotion de notre blog auprès des personnes ; ceci afin d'avoir des remarques ou suggestions nous permettant d'améliorer notre travail et de connaitre les informations supplémentaires que nous pourrions poster.

Caroline doit rédiger une première version de la conclusion et le poster sur le blog afin que chacune y apporte ses remarques en vue de l'améliorer.

Margot doit suite à la rédaction finale continuer la réalisation du diaporama et nous en faire part par l'intermédiaire du blog.

Lucie doit rédiger le cahier de charge de cette séance, faire la mise en page des dernières rédactions définitives et compléter la webographie du dossier.

Maladie d’Alzheimer : décrypter les prédispositions génétiques

Des scientifiques européens et américains ont décidé de mettre en commun leurs recherches sur la maladie d’Alzheimer. Baptisé International Genomics of Alzheimer’s Project (IGAP), ce plan vise à « découvrir et cartographier les gènes de susceptibilité à la maladie », indiquent ses fondateurs. Une ambition considérable…

L’IGAP doit ainsi permettre de rassembler les données génétiques de plus de 40 000 patients en Europe, aux Etats-Unis et au Canada. Les chercheurs disposeront ainsi d’éléments scientifiques solides, qui devraient leur permettre d’identifier les gènes susceptibles d’être en lien avec la maladie. « Ces résultats nous aideront à proposer des méthodes de dépistage génétique, applicables aux sujets qui présentent le plus grand risque de développer cette affection », explique le Dr Gérard Schellenberg, de la faculté de médecine de l’Université de Pennsylvanie, à State College.
La maladie d’Alzheimer est une affection neurodégénérative, progressive et fatale. Il n’existe aujourd’hui aucune méthode de prévention, ni aucun traitement efficace permettant de maîtriser son évolution. Or l’association Alzheimer’s Disease International estime à 35,6 millions le nombre de cas dans le monde. En France seulement, ils seraient aujourd’hui au nombre de 850 000 (6% des plus de 65 ans) et 225 000 malades seraient diagnostiqués chaque année.
Informer les aidants
La recherche est donc intensive, dans tous les pays et toutes les directions. Et le poids social de la maladie est tel, que les malades mais aussi leurs proches sont au centre de ces efforts. Une nouvelle version du site Internet alois.fr édité par les Fondations Eisai et Pfizer, vient ainsi d’être mise en ligne. Destiné aux patients francophones et à leur entourage, ce portail s’est enrichi de nouvelles rubriques. Une médiathèque propose par exemple des ouvrages, des vidéos et des dossiers. Un annuaire permet également de trouver plus facilement la liste des Centres locaux d’Information et de Coordination (CLIC) de l’aide aux personnes âgées, dans tous les départements. Enfin, des conseils pratiques en matière d’aménagement du domicile sont proposés aux aidants.

mardi 22 mars 2011

complément des trois phases

 La phase initiale :
À cette phase, la personne est généralement consciente du diagnostic et est capable de participer à des décisions concernant les soins futurs. Parmi les symptômes courants, on note des oublis bénins et des problèmes de communication comme trouver le mot juste ou suivre une conversation. Certaines personnes poursuivent leurs activités tandis que d'autres ont tendance à devenir passives et à se replier sur elles-mêmes. La personne atteinte peut également être frustrée par ses pertes de capacités. Elle deviendra peut-être anxieuse ou déprimée. Il est donc important de surveiller son bien-être émotif.
L'intervention de l'entourage est essentielle pour accompagner le malade à ce stade. Comment l'aider ? L'entourer affectivement, lui épargner les angoisses du quotidien, en ce qui touche à l'intendance ou aux démarches administratives. Il ne s'agit pas encore d'assister votre proche mais de stimuler ses capacités et de pallier ses manques. C'est le moment de donner de l'importance à la créativité, de multiplier les échanges, l'activité physique, de favoriser l'équilibre de vie du malade mais aussi de l'aider à maintenir sa place au sien de la famille et de conserver ses repères.


 La phase intermédiaire :
Au cours de cette phase, on note une détérioration plus grande des capacités mentales et physiques de la personne. Les pertes de mémoire s'aggravent et elle en vient à ne plus se souvenir de son histoire personnelle et à ne plus reconnaître sa famille et ses amis. La plus grande confusion et la perte du sens de l'orientation dans l'espace et dans le temps exigeront qu'on l'aide pour de nombreuses tâches quotidiennes comme s'habiller, se laver, aller aux toilettes.
Durant cette phase, certaines personnes deviennent agitées et font les cent pas ou errent. Inscrire la personne à Sécu-RetourMC : registre d'errance Alzheimer vous procurera la tranquillité d'esprit, si jamais elle s'égarait. Face à la perte de ses capacités, la personne atteinte de la maladie peut réagir de nombreuses façons. Par exemple, elle pourrait moins participer aux activités ou répéter continuellement les mêmes gestes ou mots. Il peut être utile de s'informer davantage au sujet de la maladie et d'élaborer des stratégies pour faire face à ces situations. Votre société Alzheimer régionale peut vous fournir l'éducation, les ressources et le soutien nécessaires.


 La phase avancée :
Dans la phase avancée, la personne n'est plus en mesure de se souvenir, de communiquer ou de prendre soin d'elle-même. Elle nécessitera des soins jour et nuit. Éventuellement, elle sera alitée, elle aura de la difficulté à manger et à avaler, et elle perdra la maîtrise de ses fonctions corporelles. Cette phase se termine par le décès de la personne, souvent à la suite de complications secondaires comme une pneumonie.

Les soins à domicile pour la maladie de Alzheimer

Les soins à domicile :

Les proches d'une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer souhaitent souvent s'occuper d'elle à domicile le plus longtemps possible.
La tâche va s'avérer de plus en plus difficile à mesure que la maladie évolue, il ne faut pas hésiter dans ce cas à se faire aider.
Le malade va peu à peu perdre son autonomie, les soins à prendre en compte seront les soins d'hygiène, les soins infirmiers, les soins para médicaux (kinésithérapeute, orthophoniste, etc). D'hebdomadaires, ces soins deviennent rapidement quotidiens. Il est possible de demander l'intervention du service de soins à domicile (SSIAD). Ce service s'occupe des soins infirmiers, ou d'hygiène à domicile, il peut permettre de retarder l'entrée en établissement. Un infirmier coordinateur sera en charge pour veiller à l'ensemble des soins et à leur bon déroulement.

Il est également possible de s'adresser à une infirmière libérale, ou à d'autres professionnels, kinésithérapeute, orthophoniste, installés en libéral, pour prendre en charge les différents soins. Dans ce cadre également, tous les soins sont pris à 100% par la sécurité sociale.
Le matériel para médical, nécessaire à la personne malade, (déambulateur, lit médical, coussin anti-escarres, etc) peut- être loués ou achetés et être pris en charge par la sécurité sociale. Il est cependant nécessaire de demander un devis qui sera soumis à votre caisse de sécurité sociale afin d'obtenir un accord d'entente préalable.

Les différents types de garde à domicile qui existent

Le domicile renforcé :

Si vous ne souhaitez pas placer un membre de votre famille en institution, le domicile renforcé vous permet de garder le malade près de vous. Il consiste en effet à le laisser en famille, avec tout de même le passage d'infirmiers pour les , une aide ménagère et un garde-malade.
Néanmoins, il faut être prudent : souvent les maisons sont totalement inadaptées pour les soins nécessaires, et elles sont source de danger. De plus, votre parent sera difficilement surveillé la nuit.
Notez tout de même qu'il existe des organismes d'aide qui pourront vous aider à financer des travaux afin d'aménager votre maison. Renseignez-vous auprès de votre département, ou des caisses de retraite.

Les familles d'accueil :

Ce sont des formées et agrées par le Conseil Général, qui prendront votre parent en pension complète.
Sachez néanmoins que si cette solution peut être intéressante de façon temporaire, elle ne conviendra pas à long terme. En effet, la formation pour la prise en charge des reste peu assurée de nos jours.

Le placement temporaire :

Il s'agit de placements ayant pour but de laisser respirer les familles. Sachez que si il est effectué en milieu hospitalier, il est pris en charge a 100% par l'Assurance .

Les communautés :

Il existe des petites structures regroupant une petite quinzaine de personne en général, pour une prise en charge de longue durée. Les différentes activités sont réalisées par la personne qui les accueille, et les soins sont assurés par des infirmiers ou médecins libéraux.
Notez néanmoins que ces structures restent chères et rares.

L'aide aux familles :

Avoir un proche atteint de la maladie d'Alzheimer est une épreuve difficile à gérer au quotidien. Vous serez le plus souvent stressé, inquiet, fatigué et nerveux.
Dans ce genre de cas, l'erreur est de se replier sur soi-même en pensant pouvoir tout gérer seul. Au contraire, un soutien psychologique vous sera de la plus grande aide pour affronter les mois, voire les années que vous aurez à passer près de votre parent .
Pensez tout d'abord à vous adresser aux médecins que vous côtoyez : ils ont l'habitude de cette maladie et sauront trouver les mots pour vous apaiser.
Il existe également tout un tas d'associations regroupant les familles, et proposant des groupes de soutien et des aides psychologiques, comme par exemple l'association France Alzheimer.
Ainsi, n'hésitez pas à demander de l'aide pour pouvoir continuer de gérer au mieux cette situation difficile.
Pensez également à demander tous les aides possibles, partout où vous le pourrez : aides financières et matérielles, les déductions fiscales si vous employez une personne à domicile.
Renseignez-vous sur tout ce qui pourrait vous aider, et n'oubliez pas que les médecins seront les premiers à pouvoir vous conseiller.


Source Bloc.com :
http://www.bloc.com/article/sante/maladies/prise-en-charge-alzheimer-2010-02-08.html#ixzz1HLQuUrJ6
Les assistantes Adhap Services sont spécialement formées pour . Encadré par un professionnel de santé, le personnel qualifié Adhap Services propose des prestations adaptées à la pathologie et au degré de la maladie de la personne.
Dans le cadre du diagnostic
Formées par l'Institut Adhap, qui peuvent laisser supposer une atteinte de ce type de pathologie. Elles en informent aussitôt le référent grand âge Adhap Services (plus la maladie est dépistée tôt, plus son développement est ralenti). Il sensibilise la personne concernée et ses proches à la nécessité d’effectuer une consultation médicale. En parallèle, des prestations spécifiques de prévention sont mises en place, en attendant le diagnostic.

Lorsque la maladie est diagnostiquée :
Le personnel Adhap Services travaille en collaboration avec les équipes médicales en charge du patient. Les prestations à domicile sont en permanence adaptées à l'évolution de la maladie (toilette, repas, activités spécifiques…). Cette assistance permet souvent de retarder le placement en maison spécialisée.

L'aide aux aidants :
Un malade atteint de troubles du comportement (maladie d’Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques, etc.) est souvent déconcertant pour la famille et les proches. La présence et l’aide des assistantes à domicile Adhap Services sont un soutien moral et concret très important.

La formation des aidants :
Ceci permet d’apaiser les conflits liés aux problèmes de communication et de retrouver le maximum de sérénité face à la maladie et à ses conséquences quotidiennes.
Très professionnelles, elles sont aussi d’un grand réconfort pour les aidants (souvent désemparés devant l’attitude des proches). Cette présence d’un professionnel permet à la famille de prendre du repos pour se changer les idées.
Le recours aux services d’Adhap Services face à la maladie d’Alzheimer permet
de redonner confiance au malade en le sortant de sa spirale de l’échec,
de contribuer à l’amélioration des relations familiales (en aidant l’entourage à mieux comprendre la maladie pour mieux réagir)


de faire de la prévention,

La cahier de charge

Le 18 Mars 2011:

Formation du groupe de travail :

ANTHERIEU Caroline
BEHENG CASTELLI Lucie
BAILLY Marine
CHIGNAC Margot

Le vendredi 18 Mars 2011 à 9 heures du matin nous avons choisi toutes ensemble le sujet sur lequel nous allions travailler afin de réaliser le travail collaboratif d'informatique.Le sujet choisi est la maladie de Alzheimer.

Chacune d'entre nous a fait durant le cours des recherches concernant cette maladie de façon à obtenir une première idée concernant le plan que nous pourrions faire dans le traitement de texe qui nous est demandé dans le cours d'informatique. Les recherches ont été effectuées de 9 heures à 10 heures.

Ensuite nous avons choisi de créer un blog afin de pouvoir effectuer un travail collaboratif à distance mais également pouvoir apporter des modifications ou informations complémentaires sur les éléments trouvés et postés par les différents membres du groupe. Ceci nous premet d'être réactif et de pouvoir modifier ou agrémenter les recherches de façon permanente sans être obliger de se rencontrer constament pour faire avancer lme travail.
Adresse du blog : alzheimerunimes.blogspot.com

Pour terminer la séance de ce 18 Mars, nous avons affecté à chacune d'entre nous différentes tâches à effectuer pour la semaine prochaine.

Marine doit faire des recherches sur les différentes phases de la maladie d'Alzheimer car nous savons suite à notre formation et aux diverses recherches effectuées pendant l'heure de cours que la maladie se décompose en trois phases.

Margot doit faire des recherches sur l'évolution future de cette maladie en France voir même dans d'autres pays. De plus, elle doit chercher les prédispositions du malade les plus fréquentes concernant cette maladie.

Lucie est chargée de faire la rédaction définitive du début du dossier c'est à dire l'introduction et les symptômes de la maladie de Alzheimer.

Caroline doit faire des recherches en ce qui concerne les différentes aides possibles pour cette maladie. Notament les aides familiales et les aides financiaires. Avoir s'il existe d'autres types d'aides moins connues concernant cette maladie.

Les objectifs pour le vendredi 25 Mars 2011 :

Regarder ensemble ce que l'on garde et ce que l'on supprime dans les recherches et informations que nous auront trouvé individuellement. Faire le point sur l'avancée du dossier. Agrémenter le blog et le traitement de texte réalisé en paralléle.

Les différents types de prise en charge de la maladie de Alzheimer

Les prises en charges de la maladie de Alzheimer :

Les aides à domicile :

L’aide ménagère
La garde à domicile
L’auxiliaire de vie aide
Les soins à domicile
L’infirmière peut, sur prescription médicale, assurer à domicile, les soins médicaux et d’hygiène, une ou plusieurs fois par jour.
Le kinésithérapeute
L’orthophoniste


Les aides financières :

La prise en charge à 100 % de la Sécurité Sociale dans le cadre des affections de longue durée (ALD l’Allocation personnalisée d’autonomie )
L’APA : l’Allocation personnalisée d’autonomie (APA) spécifiquement destinée aux personnes de plus de 60 ans ayant une perte d’autonomie définie par un groupe GIR (groupe isores sources) de 1 à 4 déterminé au moyen de la grille Aggir.
La carte d’invalidité et les avantages qui y sont liés
La Majoration Tierce Personne (M.T.P.)
L’Allocation Compensatrice Tierce Personne (A.C.T.P.)
L’allocation logement
L’allocation Adulte Handicapée (A.A.H.)
Une aide sociale pour hébergement (en cas deplacement)
L’exonération des cotisations patronales
La réduction d’impôts pour l’emploi d’une aide à domicile ou pour hébergement en institution…
Le congé de soutient familial
Le congé de soutient familial permet à toutes les personnes exerçant une activité professionnelle de s'absenter pendant une durée de trois mois (renouvelable dans la limite d'un an) pour s'occuper d'un parent dépendant.
Ce congé ne pourra pas être refusé par l'employeur
Cette possibilité ne peut se faire qu’après un an d'ancienneté.
http://sante-medecine.commentcamarche.net/faq/614-maladie-d-alzheimer-les-aides-possibles

lundi 21 mars 2011

Les trois Phases de la maladie d'Alzheimer



1ère phase : le stade initial
La personne malade commence par oublier de plus en plus d'informations, confondre des mots faciles et habituels... Votre proche a des difficultés à s'exprimer et à accomplir certaines tâches communes. Il perd ses points de repères, se renferme, devient méfiant. Autant de signes qui vous engagent à consulter votre médecin pour envisager une prise en charge médicale.

2ème phase : La phase intermédiaire : le stade le plus difficile
Peu à peu, le malade perd son autonomie. Son humeur est très irrégulière, il est de plus en plus agité. L'appétit est incertain et certains troubles du sommeil peuvent apparaître. L'inhibition commence à faire place à l'agressivité et ses capacités de concentration s'affaiblissent peu à peu.
Le rôle alors joué par l'aidant devient plus important, notamment dans les actes de la vie quotidienne. C'est à présent qu'il faut trouver des solutions à l'encadrement et l'accompagnement de votre proche dans ses tâches quotidiennes : pour l'habillage, la toilette, les repas et tout ce qui touche à l'organisation de sa journée.
Il s'agit du stade le plus difficile pour l'entourage familial, qui se trouve ainsi en plein désarroi. Faire appel à des conseillers spécialisés est alors tout indiqué, afin de pouvoir faire face au mieux à la situation.
3ème phase : La phase sévère
A ce stade, les fonctions corporelles du malade sont autant touchées que ses capacités psychiques. Il est à présent désorienté, ne reconnaît plus son entourage, les membres de sa famille ou ses amis. Les aptitudes intellectuelles et la faculté de parler sont très atteintes. Le malade devient incontinent, souffre de difficultés à s'alimenter : mastication et déglutition lui deviennent difficiles. De plus, la fragilité du malade l'expose particulièrement à diverses infections. Les risques de chutes et de fractures sont très grands, leur conséquence encore plus grave que chez une personne âgée par ailleurs en bon état de santé. Bien souvent, le malade en phase sévère risque d'évoluer vers un état irréversible de grabataire.

samedi 19 mars 2011

1.2. Les symptômes de la maladie d'Alzheimer


  • Altération de la mémoire à court terme (nom des nouvelles personnes rencontrées, événements des heures ou des jours précédents, etc.).
  • Difficulté à retenir de nouvelles informations.
  • Difficulté à exécuter les tâches familières (fermer les portes à clé, prendre des médicaments, retrouver des objets, etc.).
  • Difficultés de langage ou aphasie (difficulté à trouver ses mots, discours moins compréhensible, emploi de mots inventés ou inappropriés).
  • Difficulté à suivre une conversation, un cheminement de pensée.
  • Difficulté ou incapacité à planifier (repas, budget, etc.).
  • Perte graduelle du sens de l’orientation dans l’espace et dans le temps (difficulté à retrouver le jour de la semaine, se souvenir de la saison, des dates d’anniversaire, du moment de la journée, incapacité à retrouver son chemin...).
  • Troubles des gestes ou apraxie (difficultés à écrire, à boutonner sa veste, à utiliser des objets courants, à se laver...).
  • Difficulté à saisir les notions abstraites et à suivre un raisonnement.
  • Difficulté à reconnaître les objets, les visages des proches (agnosie).
  • Atteinte progressive de la mémoire à long terme (perte des souvenirs d’enfance et de l’âge adulte).
  • Changements d’humeur ou de comportement, parfois agressivité ou délire.
  • Changements de personnalité.
  • Perte progressive d’autonomie.

INTRODUCTION

 


La maladie d'Alzheimer doit son nom au docteur Alois Alzheimer qui la découvert en 1906. C'est l'autopsie d'une femme morte de démence qui lui a permit de décrire les liaisons cérébrales de cette maladie. Il a observé dans le cerveau de celle-ci des plaques anormales et des enchevêtrements de cellules nerveuses qui sont désormais considérés comme les signes physiologiques principaux de la maladie d’Alzheimer.
Alois Alzheimer définit la maladie d’Alzheimer comme étant une maladie dégénérative qui engendre un déclin progressif des facultés cognitives et de la mémoire.
Peu à peu, une destruction des cellules nerveuses se produit dans les régions du cerveau liées à la mémoire et au langage. Avec le temps, la personne atteinte a de plus en plus de difficulté à mémoriser les événements, à reconnaître les objets et les visages, à se rappeler la signification des mots et à exercer son jugement.
La maladie d’Alzheimer est la forme de démence la plus fréquente chez les personnes âgées. Elle représente environ 65 % des cas de démence. Le terme démence englobe, de façon bien générale, les problèmes de santé marqués par une diminution irréversible des facultés mentales. La maladie d’Alzheimer se distingue des autres démences par le fait qu’elle évolue graduellement et touche surtout la mémoire à court terme, dans ses débuts. Cependant, le diagnostic n’est pas toujours évident et il peut être difficile pour les médecins de différencier la maladie d’Alzheimer d’une démence « à corps de Lewy» qui elle est une maladie neurodégénératrice qui se caractérise par des dépots anormaux de protéine qui se forme à l'intérieur des cellules nerveuses.
Ce qui nous mène à nous poser plusieurs questions. Comment ce développe la maladie d'Alzheimer ? Quelles sont les différentes possibilité de prises en charges pour les malades ?
Pour répondre à ces questions, dans une première partie, nous présenteront les grands traits de la maladie d'Alzheimer. Puis, dans une deuxième partie, nous parlerons des différentes prises en charges mises en place pour le malade