Pour conclure, nous avons vu dans une première partie que la maladie d'Alzheimer est une maladie dégénérative progressive. En effet, trois grandes phases marquent sont évolution. Les premiers symptômes de la maladie sont de oublis bénins ou encore des difficultés à suivre une conversion. Le malade a conscience du diagnostic ce qui peut entrainer chez lui un état de dépression ainsi qu'un comportement passif. Puis, les premiers symptômes s'aggravent et d'autres apparaissent comme l'agnosie et la diminution de la mémoire à long terme. On observe également pendant cette phase d 'état des changements de la personnalité et une augmentation de l'agressivité. Dans le stade sévère, les états physique et psychique sont au plus bas. Le malade ne peut plus rester seul, car il est totalement désorienté, ne reconnaît plus personne et les oublis sont tels qu'il ne se souvient même plus qu'il a besoin de s'alimenter. De plus, sont système immunitaire est très affaiblit et laisse place à de nombreuses infections.
Dans notre deuxième partie, nous avons vu que de nombreuses aides avaient été mises en place pour faciliter la vie au quotidien du malade et de ses proches. En effet, il existe des aides financières essentielles, car cette maladie à un coût très important étant donné que le malade perd toute autonomie et voit ses facultés physiques diminuer. Mais les aides les plus importantes pour la famille sont celle squi lui permettent la garde à domicile du malade. Ces aides ont été mises en place pour permettre aux malades d'avoir tous les soins nécessaires tout en permettant à la famille de pouvoir reprendre des forces en ce déchargeant un peu du malade. Cependant, nous avons vu qu'il existe également des institutions qui accueillent les malades souffrant de la maladie d'Alzheimer. Le problème est que se soit dans les institutions de jour, temporaire ou permanente les places sont très rares. Elles sont douze fois moins nombreuses que le nombre de malades.
La réalisation de ce dossier nous a mener à nous poser des questions sur les prédispositions de cette maladie. Les seules informations que nous avons trouvé sont que l’équipe de Philippe Amouyel (de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale Inserm/Institut Pasteur de Lille), en collaboration avec l’équipe de Julie Williams (Alzheimer’s Research Trust, Université de Cardiff) ont découvert trois facteurs de prédisposition, impliqués dans le développement de la maladie. Il s’agit du gène de la clusterine , du gène CR1, ainsi que du gène PICALM.
Même s'il on ne c'est exactement d'où vient cette maladie ni comment la traiter, nous sommes certain qu'elle touche et touchera de plus en plus d'individus.